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 {+18} i feel it in my bones (( malachai ))

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Wolfgang Vasilios

Wolfgang Vasilios


Vertas




Occupation : {gérant d'un restaurant} parents adoptifs qui partent à la retraite, restaurant que t'as repris, que tu diriges au mieux, t'essayes que tout ne se casse pas la gueule
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MessageSujet: {+18} i feel it in my bones (( malachai ))   {+18} i  feel it in my bones (( malachai )) EmptyJeu 14 Mai - 19:20


You bring an energy I've never felt before Some kind of chemical that reaches through my core Feels like as far as you and me, I've never had a choice You feel like home
Esprit qui ne se repose pas, toujours en train de penser, en train de réfléchir. Vie qui a pris une tournure différente, qui ne sera sans doute plus la même. Douleur qui semble s'en être allée depuis la révélation. Âme qui n'est pas liée à une autre, mais à deux, cœur qui bat pour deux, qui bat trop rapidement au point d'imploser. Questions qui se bousculaient, réponses qui semblent évidentes à présent. Douleur qui ne semble plus exister quand t'es avec eux, quand tu te retrouves près du feu et du soleil. Chaleur dont tu ne pourrais te passer, que tu veux absolument près de toi. Vie qui change, tout qui se bouscule, mais pour une fois, tu ne sembles pas être perdu, pour une fois, ces changements ne te font peur, pour une fois, tu sembles avoir trouvé un peu de stabilité dans ta vie. Vie qui change, tout qui se bouscule, mais pour une fois, tu ne sembles pas être perdu, pour une fois, ces changements ne te font pas peur, pour une fois, tu sembles avoir trouvé un peu de stabilité dans ta vie. Chute qui sera terrible si tu continues à penser comme ça, malédiction qui plane sur toi, âme qui ne peut mourir, qui revient encore et encore, l'autre qui est divine, la mort qui ne semble pas le toucher. Malédiction dont tu ne devrais pas te soucier, parce qu'elle ne semble pas t'atteindre. Et tu t'oublies, parce que t'es qu'un loup, que t'es un humain dont la famille est bénie de certains dieux. Cœur qui se brise et tu n'es rien, rien qu'un simple humain. T'oublies, parce que t'es dans le déni, parce que t'étais sans doute comme ton père, parce que tu voulais profiter de cet instant.

Message que tu reçois, demande particulière, gamin qui veut s'entraîner, qui veut être capable de se protéger. Moment d'hésitation que t'as, l'envie de lui dire non parce que t'as pas envie de le blesser, t'as pas envie de voir une cicatrice se créer par ta faute, parce que tu n'avais pas réussi à contenir cette animal qui sommeille en toi. Peur qui s'en va rapidement, parce qu'il l'a demandé, parce que tu ne peux rien refuser, parce que c'est Kai et qu'il peut se défendre, tu l'as vu dans son regard. Rendez-vous que tu donnes dans la zone d'entraînement des louveteaux. Ajustement que tu fais, matelas que tu changes de places, armes que t'as ramenées, cibles que tu places. Premier rendez-vous qui se prépare, parce que ouais ça pouvait y ressembler, parce que ça semblait d'être quelque chose d'officiel, parce que t'as le cœur qui bat plus rapidement quand t'y pense. Message que t'envoies pour dire que c'est prêt, que tu viens le chercher. Moteur de la moto qui résonne dans la rue, qui annonce ton arrivée. T'attends, corps adossé contre ta moto, silhouette qui t'es familière, qui s'approche et t'as les lèvres qui s'étirent, les sourire un peu trop grand, bien trop lumineux quand il sort de la boutique. Ton bras qui passe autour de sa hanche, qui l'approche doucement de toi, lèvres qui se posent sur son front. « Comment s'est passé ta journée ? » Question banale qui sort de tes lèvres, casque que tu lui tends, corps que tu prends, que t'installes avant de démarrer. Moteur qui vibre, sourire en coin qui se dessine, vent qui vous frappe certainement à cause de la vitesse. Sensation de bien-être que tu n'échangerais pour rien au monde.

Moteur qui s'arrête une nouvelle fois, l'aire d'entraînement qui s'offre à vous. Corps que tu prends de nouveau, que tu gardes près de toi. Regard que tu plonges dans le sien, sourire bien trop ancré quand tu vois les iris en feu. Étreintes que tu voudrais faire durer éternellement, mais vous n'étiez pas là pour ça. Main que tu prends dans la tienne, lieu que tu lui montres, que tu lui fais visiter. « Alors, par quoi tu veux commencer ? » Mèches que tu remplaces derrière son oreille. Entraînement qui risque d'être compliqué, parce que t'arrives pas à te concentrer correctement, parce que t'es pensées vont vers ses lèvres, parce que tu sais déjà d'avance qu'il va sans doute te reprendre sur ça, parce qu'il va te dire que tu le laisses faire, que tu fais semblant. Parce que t'es faible face à lui, que tu ne peux rien lui refuser. Main qui se pose doucement, qui caresse, esprit qui est déjà bien loin, qui a déjà oublié le but de ce rendez-vous.
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Malachai Azadeh

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Occupation : les doigts qui glissent sur les feuilles trop verte, bouquets, arrangements, gosse qui parle la langue des fleurs.
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MessageSujet: Re: {+18} i feel it in my bones (( malachai ))   {+18} i  feel it in my bones (( malachai )) EmptyJeu 14 Mai - 20:27


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Tu pensais être tiraillé par tes sentiments pour deux hommes, tu pensais que c'était un problème sans issue, que t'en ressortirais pas entier, que tu finirais avec le cœur brisé, encore. Tu pensais, à trop de choses, trop d'issues, qu'on t'en tiendrai rigueur, que tu finirais à genoux pour demander pardon, que tu finirais en miettes, encore, qu'ils ne voudraient plus de toi, de ta présence. Tu t'étais gouré, lourdement trompé, ils avaient accepté, trois âmes dans une union que tu trouvais bancale mais qui semblait si naturelle, si logique. Plus rien chez toi, plus d'affaires, les sacs que t'as déposés chez Emery sans vraiment en avoir réellement quelque chose à foutre de ce qu'il en pensait, tu faisais ton nid, gamin perdu. Un nid, au sens littéral, un coin d'la chambre qui avait regroupé toutes les matières possibles que tu trouvais agréable, parce que parfois t'arrivais pas à dormir et que tu terminais dans ce soin en écoutant ta musique et en lisant, en regardant la télé, essaie de pas déranger le dieu endormi, le loup qui ronfle lourdement après une soirée trop longue au restaurant. Gamin perdu entre les couvertures qui finissaient toujours par se réveiller avec deux corps contre lui le lendemain. C'était compliqué. Compliqué ? Pas vraiment, fallait s'ajuster, fallait que t'arrives à la conclusion que ce que tu faisais n'était pas mal, pas répréhensible, que c'était pas illégal, que l'amour ne devait pas l'être, parce que tu ressentais pas de la jalousie en voyant Emery prendre le loup par la taille, parce que ça te rassurait, parce que t'observais vos liens se tissés, parce que vous étiez tellement complémentaire que parfois t'oubliais que c'était pas commun, parce que tu t'en foutais, au fond.

Fleurs. Encore un jour, bouquet de rose, fête des mères en retard, client anxieux de sa réaction. Toi t'avais pas ça en tête, toi t'avais seulement Emery dans un coin du crâne, peur qu'il lui arrive quelque chose, qu'il merde, qu'il se perde, peur que Wolf vrille, que le loup ne se contrôle pas, qu'il soit trop dur avec sa meute. Sourire trop grand quand tu tends le bouquet, que t'encaisses l'argent, comme si de rien n'était, tablier que t'enlèves, dépose, parce que tu sais que tu vas devoir partir, que l'heure approche, qu'il va venir te chercher. Gamin qui ferme la boutique, sort de la boutique, sac sur les épaules clés bien enfoncée dans une veste en cuire qui ne t'appartient pas, tu sais pas à qui elle est, peut-être Emery, peut-être Wolfgang, les deux en avaient et tu te servais, t'avais rien à perdre, tout à gagner, trop petit pour qu'ils rentrent dans tes fringues même si elles étaient déjà trop grandes pour toi. Bras autour de ta hanche et t'as un sourire, baiser sur le front, habitude que ça devient et tu vas pas t'en plaindre, jamais. « Comment s'est passé ta journée ? » Hausse les épaules alors que t'attrapes le casque. « Des cadeaux de fêtes des mères en retard, du calme, et des gamins qui s'amusent à détruire mes fleurs parce que « les pétales c'est si joli, tu comprends. » » Tu te laisses faire, casque sur la tête, les bras autour du torse de l'autre, la moto, ça aussi putain, les deux avec des motos, parce qu'une voiture c'était pas suffisamment stylée ? Parce qu'une voiture c'était trop confortable ?

Moue, parce que tu sens le vent, que t'as peur de lâcher, mais que t'aimes ça, que y a les arbres de la forêt, qu'il vous enfonce dans un antre trop vert et que ça te détend. Main dans la tienne quand tu descends, parce qu'il te fait visiter, parce que y a trop de trucs, qu'il te regarde, fort, que tu vois les yeux sur tes lèvres et que t'as un rire. « Alors, par quoi tu veux commencer ? » Caresse, mèche derrière l'oreille, parce que t'étais presque certain qu'il allait pas être capable de ne pas agir comme si t'étais un truc fragile qui savait encaisser les coups. Main derrière la nuque, tire le géant, le loup, embrasse, longuement, prolonge, brise dans un rire. « C'est bon, tu peux te concentrer maintenant ? » Chewing-gum trop mentholé que t'as abandonné entre ses lèvres. « Si tu me testais avant ? Une série d'entraînements ? » Hausse les épaules, parce que t'étais pas un de ses louveteaux, que t'avais pas la même force. Gosse qui vise, correctement, pas parfaitement, tire à l'arc où le muscle peine à se tendre, que tu rates, vise l'arbre, que c'est plus facile avec des putains de dagues, que t'es spécialisé dans les jeux de fléchettes dans les bars. Respiration trop compliquée quand tu dois escalader, que t'abandonnes en plein milieu, que t'es plein de doute quand tu vas sur le matelas défoncé. « T'es certain ? » Pas envie d'le frapper, d'le blesser, d'lui faire mal. T'as peur aussi, qu'il frappe, parce que là, t'es supposé te défendre. « J'veux pas t'faire mal. » Parce que t'as des réflexes maintenant, mais que s'il te le demande tu vas pas te retenir, parce que t'es même pas certain de ta force, si jamais t'avais de la force. « C'est débile, pourquoi j'me battrais pas contre Ariel hein ? Il mérite lui. » Souffle alors que tu te recules quand t'es supposé commencer.  
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MessageSujet: Re: {+18} i feel it in my bones (( malachai ))   {+18} i  feel it in my bones (( malachai )) EmptyVen 15 Mai - 1:18


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Tout semble si facile, comme si c'était le destin des trois âmes liées, parce que le quotidien semble si facile, parce que t'as toujours ce sourire un peu idiot quand tu croises le regard de Kai, quand tu croises le sourire d'Emery. Appartement qui n'est pas le tient, que tu squattes parce qu'ils sont là, parce que tu te sentais complet quand tu étais avec eux. Âmes qui étaient faites pour se retrouver, fil rouge qui vous uni, qui serait impossible à couper, à vous défaire. Lien qui se resserre au fil des jours, drogue dont tu ne pourrais te passer, addiction dont tu ne voudrais jamais guérir. Effluve qui t'enivre, qui te fait entrer dans un nouveau monde. Effluve présente que t'attends en dehors de la boutique, effluve qui devient de plus en plus forte quand tu vois la silhouette s'avancer, lorsque tu vois son visage, lorsque tu vois son sourire, lorsque tu vois cette veste en cuir. La tienne, peut-être celle d'Emery, dans les deux cas, ça te faisait battre ton cœur un peu plus rapidement, sourire qui se dessine facilement quand tu le vois, qui s'agrandit lorsqu'il est près de toi. « Des cadeaux de fêtes des mères en retard, du calme, et des gamins qui s'amusent à détruire mes fleurs parce que « les pétales c'est si joli, tu comprends. »» Sourcils qui se froncent, instinct protecteur qui est présent, parce que tu ne supportes pas le voir triste, parce que tu veux tout simplement qu'il soit heureux. « S'ils t'embêtent trop, j'suis en face. » Sourire en coin que t'as. Ça pouvait ressembler à une menace, faire peur à ceux qui ne le respecter, qui se moque de plus. Faire plus pour ceux qui prennent plaisir à lui faire mal, à le blesser. Non, tu ne pourras le supporter, l'animal qui s'en chargera certainement.

Bras autour de toi, qui se resserre quand la vitesse se fait sentir, quand la peur est présente, celle de la perte de contrôle, de la vitesse. Peur qui semble s’atténuer lorsque vous entrez dans la forêt, lorsque les arbres donnent cette impression de vous dévorer. Trajet qui se termine, main que tu ne peux lâcher, parce que t'as ce besoin de le sentir prêt de toi. Regard qui n'arrive pas à le quitter, à quitter ces lèvres, parce que l'envie de l'embrasser est bien trop présente. Et tu deviens trop tactile, toujours en train de chercher un moyen pour ne pas perdre le contact avec lui, mèche que tu replaces derrière son oreille. Corps qui se rapproche rapidement, lèvres qui s'entrechoquent, baiser qui est donné, que tu prolonges, qui enivre ton esprit. Bonbon qui vient, qu'il te donne, menthe qui est à toi à présent. Sourire idiot qui ne partirait pas aussi facilement de ton visage. « C'est bon, tu peux te concentrer maintenant ? » Lèvres beaucoup trop étirées, fierté dans ton regard, rouge qui est un peu monté à tes joues, chaleur qui envahit ton corps. « Embrasse-moi encore pour voir, j'suis pas certain. » T'en veux encore et encore. Lèvres que tu pourrais capturer jusqu'à ce que tu manques d'oxygène. T'essayes, tu tentes, t'as rien à perdre.

Retour à la réalité, l'entraînement que tu devais lui faire, une promesse que tu lui as faite. « Si tu me testais avant ? Une série d'entraînements ? » T'acquiesces, tu souris, tu l'embrasses une dernière fois avant de commencer. Les yeux qui se perdent, l'esprit aussi. L'envie d'être près de lui, de lui montrer comment réussir à viser avec l'arc, mais c'est un test, tu dois d'abord voir comment il se débrouille. T'avais envie de l'aider quand il devait escalader, de lui tenir la main, de le rattraper avant qu'il ne tombe sur les matelas. Sourire qui reste sur ton visage, prochaine étape, celle du combat. Gamin qui n'avait pas l'air à l'aise, baiser que tu déposes comme pour l'encourager, comme pour lui montrer que tout ira bien. « T'es certain ? » Rire que t'as, position de défense que tu commences à avoir, comme pour lui montrer que t'es prêt. « J'veux pas t'faire mal. » L'envie de l'embrasser encore et encore qui revient, l'envie de le prendre dans tes bras, de le rassurer. « T'inquiètes, j'vais juste me défendre, tu peux attaquer comme tu veux. » Lèvres qui s'étirent lentement, t'étais pas là pour le blesser, pour le frapper. Nan, c'était pas le but, c'est toi qui encaisserais les coups, parce que tu sens qu'il peut se défendre, tu sens qu'il en a peut-être besoin aussi. « C'est débile, pourquoi j'me battrais pas contre Ariel hein ? Il mérite lui. » Rire qui se fait plus fort. Peut-être que t'aimerais bien voir ce combat, mais tu sais pas si le louveteau pourrait se retenir ou si son pelage s'enflammerait. « Un jour, je te promets tu te battras contre Ariel. » Promesse que tu fais avec un grand sourire, combat qu'il pourrait faire avec les autres aussi. « J'ai confiance en toi. » Sourire qui devient un peu plus grand, sourire comme pour lui indiquer que tu ne lui donnerais aucun coup. Signe que tu lui fais pour lui dire qu'il pouvait commencer. Corps qui s'avance, coup qu'il essaye de te donner, que t'évite sans problème. Sourire toujours présent, toujours aussi grand, regard qui se perd dans les iris dorés de Kai, esprit qui part, qui oublie ce qui se passe autour. Coup que tu reçois, corps qui tombe en arrière, qui prend la main de l'autre, corps qui vient tomber sur toi. Rire que tu ne peux retenir parce qu'il avait l'air surpris de ce qu'il venait de faire. « Félicitation, tu as gagné. » Sourire que t'as, gamin qui est au-dessus de toi et toi qui restes au sol quelques secondes, avant de te redresser. Lèvres qui s'étirent, sourire fier, main qui se pose sur sa joue lentement avant de te perdre à nouveau dans ta contemplation.
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Malachai Azadeh

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MessageSujet: Re: {+18} i feel it in my bones (( malachai ))   {+18} i  feel it in my bones (( malachai )) EmptyVen 15 Mai - 20:17


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Baiser, que t'offres, que tu voles, présent dans lequel se cache une petite partie de ton cœur, de ton être, de toi. Baiser, parce que le loup fixe comme s'il voulait dévorer, comme s'il voulait bouffer, détruire, avaler, comme s'il te voulait toi, tout entier, comme s'il voulait prendre entre ses crocs les lèvres rosées. Tu cèdes, gamin possédé par l'amour, embrasse, libère de la frustration, joue avec sa langue, avec son cœur que t'as entre les mains, qui glisserait presque entre tes doigts. Sourire, trop fier, gamin au regard flamme et au cœur bouffé par les rapaces. Tu demandes, provoque, s'il peut se concentrer, s'il en a assez eut, tu sais que c'est pas le cas, qu'il en aura jamais assez, tu le vois dans ses yeux, dans la provocation et à l'accent sur sa langue. Rouge aux joues quand il parle et t'as un rire, embrasse encore, encore, et encore. Tu sais pas combien de temps, combien de minutes, combien d'heures, parce que tu te perds, que tu te sépares, reprend contenance avec la tête qui tournerait presque du manque d'oxygène et de la chaleur naissante dans ton ventre. Chaud. Beaucoup trop chaud. Pas toi, lui, vous, la Terre et le soleil en collision parfaite, étreinte apaisante, caresse douce. Caresse douce avant le commencement, la sueur, la douleur, l'ennuie. Ennuie. T'aimais pas ça, te battre, te battre avec lui, avec quiconque, t'avais jamais eut le choix pour survivre mais t'aimais pas ça, tu détestais ce sentiment d'être en danger, de devoir te protéger de tout, tout le temps. T'obéis, pourtant, talent à l’œuvre, exutoire presque, parce que tu t'es jamais défoulé autant, que tu t'es jamais senti aussi fatigué non plus.

Gosse qui se plaint, combat au corps-à-corps, t'as pas envie de lui faire mal, de le blesser, de devenir pour un tour ce que tu détestes. Pourtant, t'as pas le choix, tu le sais, t'as pas le choix parce que tout le but était là, que tu te défendes, que t'apprennes à te défendre, que t’apprennes à encaisser aussi probablement. Promesse, tu te battras avec Ariel, un jour, parce que t'as bien envie d'lui refaire la gueule si on te donnait la possibilité de le faire. « J'ai confiance en toi. » Sourire, géant trop con, parce que personne devrait avoir confiance en toi, même toi t'as pas confiance en toi, t'as peur de le blesser, d'lui faire mal, qu'il te fasse mal, t'as peur de tellement de chose et pourtant, pourtant tu te lances, parce qu'il évite, parce que tu connais pas sa vie mais putain y a de l'expérience derrière et ça te rassure tellement que t'en as un soupir. Corps, qui part en avant, entraîner par celui qui tombe en arrière. T'as un rire, bruyant, surpris, quand t’atterris sur le torse, quand il rit aussi, parce que t'as le cœur qui bat trop rapidement, parce qu'il se redresse avec toi contre lui. « Félicitation, tu as gagné. » Gosse qui hausse les épaules, parce qu'il a même pas essayé, parce que tu secoues la tête avec un rire, qu'il était trop gentil et que tu te demandais si ça servait vraiment à quelque chose d'être ici.

La main qui glisse sur ta joue et t'embrasses, plonge sur les lèvres, main qui glisse dans la nuque, naissance des cheveux, l'autre qui parcourt son dos, se fraye un chemin dans la chair, creuse l'épiderme, griffe. « J'ai le droit à quoi ? » Sourire, gosse qui vire le haut de l'autre, le balance plus loin, embrasse le cou, morsure, suçon que tu laisses. « T'as des capotes ? » Demande, parce que tu sais que les loups-garous sont pas censés véhiculés de maladie et que toi t'es mort y a peu de temps et que si t'avais été infecté le truc serait mort avec toi. Joyeux, la vie d'immortelle. « Au pire on s'en fou, mais c'est pour le principe. » Hausse les épaules le gamin, embrasse les lèvres, toujours plus fort, parce que t'as un ronronnement dans la gorge qui attend, parce que tu te sens bien, là, dans une putain de forêt, sans personne, parce que y a le vent, que t'es libre, qu'il est là. « Et du lubrifiant. » Moue, parce que y a le premier bouton du jean de l'autre qui saute alors que t'embrasses la peau trop nue, bronzée, baiser par le soleil lui-même. Ah. Rire à cette pensée, que c'était tout sauf faux, parce qu'il s'était fait en toute normalité, fait baiser par un putain de Dieu soleil. « T'es putain de beau. » Grogne, fait la moue, tu sais pas trop, t'as l'cerveau qui commence a vrillé doucement, avec l'odeur de forêt, de bois, odeur de lui, de chez toi, d'un endroit où tu te sentais putain de bien. Mouvement, de hanche, te colle encore un peu plus contre lui, encore un peu plus. « Chill puppy. J'suis certain que les louveteaux se sont déjà bien amusés sur le matelas. » Ronronne dans le creux de son cou mord la jonction du cou et de l'épaule.
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MessageSujet: Re: {+18} i feel it in my bones (( malachai ))   {+18} i  feel it in my bones (( malachai )) EmptySam 16 Mai - 13:24


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Concentration qui ne semble pas être là, parce que t'as encore les étoiles dans les yeux quand tu le regardais, parce que tu perdais tes moyens, parce que ton esprit semblait aller bien loin. Douceur de ces lèvres qui viennent sur les tiennes, chaleur qui est présente, le feu qui ne fait que grandir. Langues qui jouent ensemble, sourire que tu ne pouvais retenir, moment de bonheur que t'avais envie de faire durer le plus longtemps possible. Concentration qui devait revenir avec ce baiser, mais t'en voulais plus, toujours plus. Chaleur qui monte, feu que tu pourrais presque sentir sur ta peau. Un feu qui ne te fait pas peur cette fois, au contraire, feu qui tu voudrais toucher, te brûler un peu plus. Sourire un peu trop grand quand les lèvres se quittent, oxygène qui revient dans tes poumons, soupir qui s'échappe parce que tu te sens un peu trop bien, parce que tu te sentais à ta place. Corps qui s'éloigne, chaleur qui s'éloigne aussi, mais t'avances en même temps que lui, reste à proximité pour pouvoir toucher les flammes. Regard qui se perd, qui admire les scènes. Gamin qui n'est pas sûr de lui, hésitant dans ses gestes, dans son regard. Paroles d'encouragement qui s'échappe, parce que tu n'arrives pas à te retenir, que c'est plus fort que toi, que tu vois dans ses yeux, dans son regard qu'il peut faire plus que ça, parce que tu sais qu'il peut faire plus, parce que tu l'avais vu. Paroles d'encouragement quand vient le combat au corps-à-corps, parce qu'il ne veut pas te faire de mal, te blesser. Tu sais que ça ne sera pas le cas, et même s'il le faisait, tu sais que ce n'était pas intentionnel, parce que t'as confiance en lui, corps et âme que tu pourrais lui donner, lui vendre. Corps qui s'avance, coups timides qu'il donne, que t'évite. Coups qui deviennent plus fort, confiance qui devient plus forte, âme qui s'affirme, coups que tu reçois, pas assez pour te mettre à terre. Tu joues avec le feu, risque de te brûler, mais tu t'en fiches. Sourire qui s'agrandit, fierté dans son regard et le coup final, celui qui te fait tomber, chute dans laquelle tu l'entraînes. Sourire beaucoup trop grand quand tu te redresses, quand t'entends son rire, quand tes lèvres plongent sur les siennes. Frison qui naît, qui parcourt ton corps quand tu sens ses doigts sur ta peau, quand tu les sens danser, te griffer. « J'ai le droit à quoi ? » Feu qui grandit, qui est là contre toi, qui défait les boutons de ta chemise, qui les fait sauter un par un et t'as ce sourire en coin qui ne veut pas s'effacer. « A tout ce que tu veux, kitty. » Regard de feu, fait d'ambre, que tu ne peux quitter, lèvres que t'embrasse, haut que tu enlèves à son tour, que tu jettes sans trop savoir, mains qui se posent sur ses hanches, lèvres qui suivent sa mâchoire, qui descend lentement, dents qui glissent sur la peau, animal qui semble vouloir sortir.


Ambiance qui change, plus chaleureuse, alors que la nuit tombe, alors que les étoiles brillaient au-dessus de vous. Grognement qui s'échappe lorsque les lèvres se posent sur toi, lorsqu'il te laisse une marque, lorsqu'il te fait sien. Mains qui serrent un peu plus fort ses hanches, qui le rapprochent vers toi, qui veulent le faire tenir contre toi quand tu te lèves, quand tu changes de place. Sol qui n'allait pas être l'endroit le plus confortable, parce qu'il méritait mieux que ça, parce que tu voulais tout lui donner, lui offrir l'univers. Corps qui s'écrasent sur le matelas, Kai qui se trouve au-dessus, contrôle, confiance, que tu lui donnes. « T'as des capotes ? » Regard qui se pose sur ta veste, t'en avais certainement une dans une poche, parce que tu ne savais pas ce qui pouvait arriver, parce que t'étais bien content d'en avoir une quand t'as fait la rencontre d'Emery. Veste trop loin, pas envie de quitter cette chaleur, regard qui se pose sur la trousse de soin, parce que tu semblais en avoir vu, parce que les louveteaux n'étaient pas discrets. « Au pire on s'en fou, mais c'est pour le principe. » Rire que t'as, qui se coupe avec un baiser. Intensité qui devient plus en plus forte, langues qui commencent à jouer ensemble, une danse qui s'arrête bien trop rapidement. Goût des agrumes que tu n'as pas assez goûté, que tu veux encore. « Et du lubrifiant. » Bras que tu tends, qui attrape finalement cette boîte, main qui cherche les objets, alors que tes lèvres s'attardent sur sa peau, lorsque les marques commencent à apparaître le long de son cou. Objets que tu trouves, que t'attrapes, que tu poses près de toi, que tu gardes le préservatif dans ta main. Grognement qui s'échappe lorsque le bouton de ton jean n'est plus, lorsque tu te sens un peu plus libre, parce que t'en veux plus, parce que l'envie monte quand tu sens ses lèvres contre ta peau. « T'es putain de beau. » Rire encore, lèvres qui s'étirent, main dans le dos de Kai, pour le rapprocher pour de toi, pour le sentir un peu plus. Lèvres qui s'étirent, sourire en coin comme figé sur ton visage, regard plongé dans le sien durant quelques instants, pour pouvoir l'admirer un peu plus, cœur prêt à sortir de ta cage thoracique. Envie grandissante que tu ne peux plus cacher, mouvements de hanches que t'as, comme un réflexe. Baisers que tu donnes, que tu poses dans son cou, baisers qui remontent. Moments où tu profites de pouvoir respirer son parfum, comme pour avoir une dose supplémentaire. « Et t'es putain de magnifique. » Mots murmurés au creux de son oreille, soupir que t'as en plus quand tu sens le mouvement de hanches, quand ton esprit semble se perdre un peu plus, lèvres que tu captures encore et encore, alors que tes mains se baladent sur son corps, lorsque ses vêtements commencent à tomber, lorsque les barrières se lèvent enfin. « Chill puppy. J'suis certain que les louveteaux se sont déjà bien amusés sur le matelas. » Esprit qui se brouille, images que tu n'as pas envie de voir, parce que c'est pas le moment, parce qu'il n'y a que Kai qui compte pour le moment. Ronronnement que tu sens, souffle qui vient sur ta peau, dents qui viennent ensuite, morsure qui va sans doute laisser une trace dans ton cou, grognement que t'as, l'animal qui est là, iris qui tournent au rouge, animal qui veut le faire sien à son tour.


Main qui vient prendre la sienne, doigts qui s'entrelacent, tes lèvres bien occupées à déposer des baisers. Préservatif que tu lui donnes, déjà ouvert, plus qu'à mettre, main que tu ne lâches pas, qui l'accompagnerait s'il le fallait. Dernier morceau de tissu qui tombe, plus de barrières, peau contre peau. Enfin. Lèvres que tu captures, main libre que tu passes dans ses cheveux, qui s'amuse avec ses boucles, puis qui descend vers sa joue, caresse lorsque le baiser se finit, lorsque tu emprisonnes ses lèvres quelques instants avant de les poser de nouveau sur son cou, sur son épaule. Main qui descend, qui caresse le dos, qui le fait tenir contre toi. Mouvements de hanches toujours présent, toujours là pour montrer ton envie. Une main qui le tien, l'autre qui vient se poser sur le torse de Kai, caresse encore et encore. Main qui descend, sourire, regard qui se pose sur lui. Caresse le long du membre, que t'accompagnes durant quelques instants, baiser que tu donnes, langue qui veut jouer encore et encore. Lubrifiant que t'attrapes, ouvre, regard qui se pose à nouveau, signe d'approbation que t'attends avant de commencer quoi que ce soit. « S'il y a quelque chose qui ne va pas, dis-le moi. » Parce que c'était son plaisir que tu voulais, le sien uniquement. Corps que tu prépares, caresse douce, le loup que tu essayes de contenir, parce que tu ne veux pas lui faire peur, que ce n'était pas le bon moment. Mains qui se placent sur ses hanches, mains qui s'agrippent, soulèvent le corps, le place au-dessus de lui, correctement et t'attends, tu lui souris, l'embrasse de nouveau, gémissement, grognement moins puissant, lorsqu'il vient sur toi finalement. Baiser plus passionnée, injures qui passent tes lèvres. Sentiment d'être enfin complet, de ne faire qu'un et ça te faisait du bien. Main qui revient dans ses cheveux, qui se promène, lèvres qui sont toujours scellées, langues qui dansent encore et encore, l'autre main qui caresse la longueur, qui presse doucement, regard qui plonge dans le regard de feu, qui admire chacune des expressions lors de chaque mouvements. Œuvre d'art que t'as sous les yeux, que t'admires. Spectacle dont tu ne veux rater aucune seconde, aucun moment. Morsure dans le cou, trace que tu veux laisser, qui se place aux côtés d'autres, qui ne sont pas les tiennes, qui vient les compléter. Traces d'amour qui couvrent la peau, qui le couvre lui pour lui montrer à quel point il était important, qu'il était aimé. Envie plus grande, loup qui veut le faire sien, qui veut le clamer haut et fort. Morsure que tu retiens, pas encore, pas le bon moment encore.
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Malachai Azadeh

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Neutre




Occupation : les doigts qui glissent sur les feuilles trop verte, bouquets, arrangements, gosse qui parle la langue des fleurs.
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MessageSujet: Re: {+18} i feel it in my bones (( malachai ))   {+18} i  feel it in my bones (( malachai )) EmptyDim 24 Mai - 3:44


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tumblr_inline_pl5gupf6d31rqq37j_400.gifLèvres, sourire, dents trop parfaite et les yeux qui fixent ton visage. C'était comme s'il ne voyait que toi, à chaque fois qu'il te regardait t'avais l'impression d'être le centre de son univers. Avoue, gamin, que ça fait du bien de se sentir apprécier, parce que t'en as besoin, tout le temps, parce que t'aimes ce que ça te fait ressentir, que t'aimes sentir les lèvres sur le dos de ta main, celles qui glissent des baisers le long de ton épaule. Parfait. Impression d'être à ta place entre ses bras, entre ses doigts. L'impression d'être autre chose qu'un jouet, qu'un emballage vide, l'impression d'être autre chose que quelque chose qu'on jette, dont on se lasse, dans ses yeux tu le vois, qu'il te laissera pas, parce que y a son nom qui passe la barrière de tes lèvres quand il te touche, qu'il voit, apprend, t'aime.

Putain. Il t'aime. Parce que tu respires, apprends la douceur de sa peau, la chaleur de ses yeux, animal en cage que t'apprivoises de tes soupirs et de tes sourires. Wolfgang, partout, tout le temps, Wolfgang et sa voix qui apaise, les mains dans ton dos qui te bercent. Loup tragiquement beau et apaisant, tragiquement parce qu'il comprend, que y a de la douleur dans ses yeux comme dans les tiens, parce que t'as l'coeur qui bat plus doucement quand il est là, parce que c'était la compréhension au fond d'ses prunelles et l'adoration dans sa gorge. Accepte, d'un mouvement de tête, les conditions, pour qu'il t'aime, juste encore un peu, d'une autre manière, le rire dans ta gorge qui glisse dans tes prunelles, parce que tu contrôles, qu'il attend, attend. Animal qu'il était supposé être et pourtant il se laissait aller, lui aussi, il te laissait choisir, il avait peut-être vu, senti, que c'était mieux, que tu gérais mieux l'afflux de sentiments comme ça, que tu gérais mieux la vulnérabilité qui bouffait ton cœur à chaque fois que t'étais dessous, à chaque fois que t'avais peur de pas pouvoir t'enfuir.

Les lèvres qui glissent, s'entre-choquent, laissent des marques comme des signes d'appartenance, trop logique, tu l'sais, pourquoi, que y a un truc qui le gêne, un truc coincé dans sa gorge, parce que y a les yeux rouges quand tu bouges, quand tu gémis, parce que y a les crocs. « Vas-y. Tu peux. » Parce que dans le pire des cas, Emery te soignera, que t'as confiance en lui, un loup, pas un vampire, n'est-ce pas ? Caresse le visage, la joue, passe, griffe, embrasse, découvre, retrace, encore, encore, encore une putain de fois. « Wolf. Ça va. » Rire, précise, encourage, parce que tu veux le laisser s'exprimer, juste encore un peu, pour une fois, qu'il se laisse aller tout le temps avec toi, que t'avais envie qu'il puisse tout te dire, tout te faire ressentir, d'être là pour lui comme il était là pour toi. Embrasse les lèvres, doucement, langue qui glisse sur les canines, sur les dents, embrasse, passion, amour, tendresse. Tendresse dans les gestes, quand tu bouges, quand tu caresses le corps en face de toi. « Je t'aime. » Doucement, creux de l'oreille, que tu glisses, dit, doucement, parce que c'était plus facile avec lui, tout était tellement facile avec lui, tout était comme tout devait l'être. Il essayait, d'être tout et rien, essayait de comprendre, tout le temps, compagnon de tes nuits et de tes larmes, de tes rires et de tes cris, il avait vu le démon que tu cachais entre tes omoplates, l'amour que tu cachais entre tes cuisses, avait tout vu, ressentait tout ce que t'étais.

« T'es parfait. » Parfait, comme Emery, autant, plus ? Tu sais pas, t'avais pas eu mal avec lui, pas autant, pas une autre comète, pas d'explosion, juste des mots qui trottaient dans ta tête que t'avais mal prit alors qu'il ne pensait pas à mal, il était parfait, tellement. Doux, charmeur, drôle, parfait. Caresse la joue, doucement, caresse les lèvres, caresse la cicatrice régnant sur son sourcil, comme la tienne, deux bêtes abandonnées, deux bêtes qui se retrouvaient dans une parade nuptiale entêtante. Morsure, sang, gémissement, parce que t'avais pas mal, que tu savais ce que ça voulait dire au fond, que tu te doutais, que tu te souvenais dans un coin du crâne ce que ça signifiais pour lui, parce que tu voyais ses yeux, son âme. Main qui griffe le dos, serre la nuque, que tu viens à cause de la morsure, de la sensation, de la douleur et de la passion, que tu grognes, te serre, griffe, fait couler le liquide rougeâtre et celui plus laiteux, parce que t'as la tête ailleurs, la respiration presque trop tremblante, rapide, parce qu'il prouve, détruit, construit.
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Wolfgang Vasilios

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Vertas




Occupation : {gérant d'un restaurant} parents adoptifs qui partent à la retraite, restaurant que t'as repris, que tu diriges au mieux, t'essayes que tout ne se casse pas la gueule
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MessageSujet: Re: {+18} i feel it in my bones (( malachai ))   {+18} i  feel it in my bones (( malachai )) EmptyDim 24 Mai - 20:21

 

You bring an energy I've never felt before Some kind of chemical that reaches through my core Feels like as far as you and me, I've never had a choice You feel like home
tumblr_inline_pp0vapFBWU1twd62e_500.gifEntraînement qui ne se passe pas réellement comme prévu, qui dévie de son but premier. Regret qui tu n'as absolument pas, bien au contraire. Lèvres qui se rencontrent encore et encore. Goût dont tu ne pourrais te passer, que tu cherches encore et encore. Lèvres que tu attrapes, captures comme s'il s'agissait d'une proie, comme si t'étais un prédateur en train de capture sa proie. Bulle qui se forme, forêt qui ne semble qu'à vous, qui vous appartient pour la soirée. Lèvres, mains, qui se baladent sur son corps, qui apprécient chaque seconde cette sensation de bien-être. Les regards qui se croisent, qui ne se quittent pas. Les sourires qui se dessinent un peu trop facilement, parce que t'as une œuvre d'art devant toi, que c'était impossible pour toi de ne pas le faire. Ton prénom est dit, poussé, soufflé dans un soupir sous les caresses que tu pouvais lui faire. Magnifique, putain de magnifique, mots qui ne sont pas dits au hasard, que tu redirais encore et encore pour qu'il le comprenne, pour qu'il puisse voir l'effet qu'il te fait. Tissus qui tombent un par un, corps qui se découvrent petit à petit, doucement, sûrement. Préparation qui se fait lentement, qui se fait seulement avec son accord et toi t'attends, loin d'être l'alpha, le leader que t'es supposé être. T'attends, sagement, jusqu'au signal. Corps qui descend lentement, qui ne bouge pas durant quelques instants, le temps de s'habituer, les lèvres qui s'entrechoquent, baisers pour se sentir mieux, pour oublier la douleur, pour se concentrer un peu plus sur le plaisir.

Mouvements doux, qui semblent être au même rythme que les battements de vos cœurs, au rythme de vos baisers. Animal qui commence à sortir, à vouloir faire sa place, pour montrer qu'il était bien là. Marques que tu laisses, l'envie de le faire tien qui est plus, les crocs qui commencent à apparaître, morsure que tu ne peux empêcher d'avoir, que t'essayes de retenir en te concentrant sur autre chose, te concentrant sur le plaisir qu'il peut avoir. Mouvements un peu plus rapidement, comme vos rythmes cardiaques, votre respiration qui ne semble faire qu'un. « Vas-y. Tu peux. » Encouragement, peur qui semble disparaître, qui commence à s'en aller doucement, parce qu'il a confiance en toi, parce qu'il peut savoir que tu ne lui feras rien, que tu ne le blesseras pas. T'aimerais bien l'avoir aussi cette confiance, t'aimerais que cette peur de le dévorer par erreur parce que tu n'arrivais pas à te contrôler. « Wolf. Ça va. » Rire que t'as, qui te détends un peu, sourire que t'as, sourire de prédateur que tu ne peux enlever. Baiser qui vient, langue qui joue, s'introduit, caresse les canines. Ta langue qui vient, joue avec la sienne, tandis que ta main descend, joue avec une autre partie de son corps, longueur que tu caresses, pression que tu fais alors que tu attrapes ses lèvres pour les faire prisonnière de tes dents, alors que les mouvements de bassin continuent. « Je t'aime. » Mots prononcés au creux de l'oreille, frisson qui naît, qui parcourt ton corps. Sourire que t'as, un peu trop grand, cœur qui se met à battre plus rapidement, lèvre que tu captures. Baiser passionné, met tout l'amour, la passion, que tu peux ressentir pour Kai. Main que tu prends, doigts qui s'enlacent alors que les lèvres, les langues jouent encore ensemble, qui se séparent finalement pour que les poumons puissent se remplir à nouveau d'air. « Je t'aime aussi Malachai, plus que tout. » Plus que ta propre vie, que tu donnerais pour lui sans aucune hésitation. Main qui vient sur sa joue qui caresse doucement, qui vient dans ses chevelures, qui se promènent à travers les mèches. « T'es parfait. » Sourire plus grand, confiance qui est là, construite entre vous deux, comme si rien ne pourrait venir la briser.

Main qui vient poser sur ton visage, qui se balade, vient sur la cicatrice, blessure d'un combat quand t'étais gamin, entraînement qui a mal fini. Baiser que tu déposes sur ses lèvres, qui descendent le long de son cou, crocs qui commencent à sortir lorsque t'arrives à la jonction de son épaule, baiser que tu déposes, comme pour t'excuser de la douleur qui allait arriver. Crocs qui se plantent dans la peau, traces qui ne partiraient sans doute jamais, qui restera là comme un signe de l'amour que tu lui portes. Peau qui est transpercée, le sang qui coule, rouge écarlate qui décore la peau. Réaction qui ne se fait pas attendre, grognement qui s'échappe, Kai qui agrippe ta nuque, ongle qui glisse sur ta peau, laissera aussi une trace. Liquide rouge qui n'est pas le seul à couler, liquide plus blanc qui vient sur vos peaux, qui s'arrête de couler au bout de quelques secondes. Goût de fer qui vient dans la bouche, signe pour toi qu'il faut arrêter. Respiration que tu reprends, sensation d'être à nouveau vivant, d'être complet, comme si quelque chose venait de se faire, changement qui aura lieu. Lèvres qui s'entrechoquent de nouveau, baiser plus calme pour montrer de nouveau ton amour, mouvements qui se font moins rapides sous les gémissements, les grognements du phœnix. Mains qui viennent de nouveau parcourir le corps, torse où tu passes plus du temps, mains qui descendent encore, qui caressent comme pour prendre soin, comme pour le rassurer que même après ce moment intime, tu ne partiras pas, tu resterais avec lui. Les prières, compliments et déclarations s'échappent de tes lèvres, louanges que tu lui fais, comme s'il était ton dieu, un de tes dieu. Encore, toujours plus, l'envie de ne pas quitter ses bras, l'envie de rester auprès de lui pour toujours.
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