you can't make fire feel afraid

Neutre

cradle to the grave

Prénoms, Noms : Les accents qui se mélangent, se distendent, le regard effrayé qui fixe quand ça prononce, comme une malédiction qui ne cesse de recommencer, encore et encore. Malachai, brisures d'espoir, « mon ange » comme murmuré à l'oreille, des voix du passé qui foutent ton âme en berne. Alejandro qui s'tient à ses côtés comme un vaillant p'tit soldat, ébauches des origines qui s'dessine pendant qu'tu fumes tes joints et l'monde. Azadeh, persan qui explose les veines, liberté comme nom, comme si tu pouvais t'envoler alors qu'on t'a coupé les ailes pour les vendre au plus offrant.
Âge, Date de naissance : Gamin, l'âge qu'est qu'un nombre sur ta carte identité. T'sais qu'à un moment faudra qu'tu fasses semblant d'être quelqu'un d'autre, pour l'instant t'es qu'un putain d'oisillon, renaît des cendres y a vingt-trois ans, truc couvert de cendres qu'on à retrouver dans les rues de Téhéran un 19/09. Gamin qui fait son âge, peut-être même plus jeune, les traits gommés par la cruauté d'la vie. Gosse d'la génération Y qui carbure aux memes et à la fumette.
Nationalité, Origines : Enfant du monde que t'aimerais dire, mensonge qui coupe les lèvres et boufferait presque la langue. Gosse qui s'perd dans ses origines, Mexique qui flirte avec l'Iran, d'autres trucs paraîtrait, ils savent pas vraiment, te donnent leurs origines à eux. T'es tout, rien, descendant d'une lignée fabuleuse, crame quand l'temps est venu, crève dans ton propre feu, t'aimes à dire que t'es né de l'implosion d'une galaxie, propulser sur Terre juste pour la blague.
Statut Civil : Seul. Éternellement seul, gamin qui cherche son autre moitié dans tous les regards, la gorge qui se serre quand t'as l'espoir, quand tu penses, quand un sourire ressemble à celui d'tes rêves, souvenirs brumeux que t'identifies pas. Seul, parce que tu t'offres pas, que tu joues avec les sens, que parfois ta chaleur est trop étouffante. .
Orientation sexuelle : Tu t'en fous, totalement, t'essaie juste d'retrouver la personne d'tes rêves, t'essaie juste de toucher, voir, t'essaie de retrouver ce sentiment, t'essaie d'rejoindre Hypnos dans un dernier effort d'apercevoir son visage, dans une dernière tentative bien veine.
Occupation : Doigts vernis qui caressent les feuilles trop vertes. Douceur dans les mouvements quand t'accordes les couleurs des fleurs entre elles, l'sang chaud qui s'refroidit et la violence des iris trop sombre qui disparaît quand l'corps se déplace dans la serre, quand l'soleil réchauffe l'épiderme. Fleuriste, tiens la boutique avec tes parents adoptifs, t'occupes des compositions et d'accueillir les clients avec un sourire chaleur et une rire pétillant.
Allégeance : Laisse le temps faire son œuvre, trop vieux et trop jeune pour avoir une opinion. Tu ne sais pas, ne veux pas savoir, fait semblant de ne pas comprendre pour l'instant, fait semblant d'avoir trop de choses à faire pour s’inquiéter, des histoires que t'entends auxquels tu refuses de prêter une quelconque attention, neutre, jusqu'à l'échine.
Clan, Association : L'cœur lié à ses rêves, toujours l'espoir de retrouver le morceau manquant, famille comme garde-fou.
Caractère : chaotique, coeur brouillon, colérique, sang-chaud, lunatique, possessif, anxieux, perfectionniste, provocant, insolent, sarcastique, violent, tête en l'air.
Theme song : Doja Cat - Say So

anywhere but here

Pseudo : agartha
Âge : 19 soon to be 20
Accepteriez-vous qu'on utilise votre personnage si vous venez à quitter le forum ? : Non
Comment avez-vous connu le forum ? : discord

ft. benjamin wadsworth (HERESY)

a decade of destruction

Race Surnaturelle :

Être unique, bercé par la cendre et les flammes. Oiseau de feu, oiseau millénaire. Phénix légendaire, plumage, or et rubis, traînée de feu ardent sur son passage. Mort, résurrection, même créature qui meurt pour renaître de ses propres cendres, corps qui crée le corps. Phénix à la durée de vie infini, renaît tous les cinq cent ans sous une nouvelle forme. Phénix impossible à tuer si ce n'est de vieillesse, mort jamais définitive. Phénix, fils du soleil, chaleur dans les traits, sur l'visage, dans l'sourire.

Niveau de Puissance :

Novice, le feu qui se créer quand l'cœur s'enflamme, les pouvoirs qui n'obéissent que par l'émotion, la peur, l'envie. Novice, tant à apprendre depuis cette renaissance.

Pouvoirs Surnaturels :

self-resurrection :

Craquement des os, l'cœur qui refuse de battre, respiration coupée. Puis y a le corps qui s'illumine, les morceaux qui se rassemblent et le cœur qui repart. Mort, renaissance, toujours, encore, gosse incapable d'être buté réellement que par autre chose qu'son âge. Aveugle, l'corps, doré l'épiderme abîmé qui s'reconstruit, une autre cicatrice qui s'ajoute là où l'coup fatal à été porté. Blindé, brisé, épiderme témoin des morts, d'la douleur, toujours plus douloureux, corps qui ressent tout, la douleur qui tourne la tête quand l'esprit revient dans l'enveloppe, quand l'âme réintègre le corps.

fire manipulation & fire immunity :

Feu. Chaleur qui étouffe le corps, flammes qui dansent dans les paumes de tes mains. Comme si tu ne ressentais rien quand une flamme passe, effleure la peau trop sensible, trop fragile. Feu, création, manipulation, les émotions qui contrôlent les flammes, embrase le cœur et le corps de l'intérieur, goût de cramer sur la langue, les cendres dans les cheveux et sur l'visage trop jeune. Feu, les regards qui s'émerveillent quand le corps disparaît entre les flammes, quand il réapparaît dans une danse qui semblerait presque macabre, incendiaire qui se joue des peurs. Feu, quand les émotions prennent le contrôle et que la peur perce l'épiderme, peur, colère, joie, l'feu ne se contrôle pas, jamais.

Faiblesses et Contrecoups Surnaturels :

self-resurrection :

Les cicatrices qui se multiplient sur le corps, chaque mort, à chaque fois que l'cœur s'arrête, une nouvelle cicatrice, une nouvelle douleur. Épiderme sensible. Angoisse, peur, phobie, peur de mourir, peur de souffrir, s'échappe, évite le danger, l'corps qui tremble quand l'poing s'abat sur la tempe. Traumas qui explosent le libre-arbitre, fait trembler l'corps. À chaque fois qu'on approche, l'gosse qui laisse couler ses larmes, qui protège son visage, s'en souvient pour des lunes, trop de lunes. Si tu meurs pas, ton corps se soigne pas, si tu meurs pas, tu restes avec cette blessure, si tu crèves pas tu restes un humain comme un autre alors parfois, ça dure des jours, parfois t'as mal, t'agonises, tu t'vides de ton sang, parfois tu prends ta propre vie juste pour ne plus souffrir, parfois t'as la gorge qui se serre quand tu vois ta gueule fracassée dans l'miroir, souvent t'as peur, souvent t'as mal, tout le temps t'as mal.

fire manipulation & fire immunity :

L'eau, toujours, la peur du froid, l'corps qui se refroidit trop vite, incapacité à créer des flammes. L'froid, l'eau, endroit humide qui te rend malade, te donne la nausée. L'corps qui s'refroidit facilement, couches que t'empiles, vêtements amples qui gardent la chaleur dans l'but de pas congeler, d'pas te retrouver sans moyen d'te protéger. Gosse qui s'perd dans des fringues trop grandes pour lui, qui laisse pas passer l'froid, ça ferait presque rire, l'manteau qui s'pose au-dessus de tout ça. L'sang, qui coule, souvent, quand t'as trop utilisé tes pouvoirs, jointures qui s'ouvrent, l'sang qui coule du nez, lèvres qui saignent, les entailles d'autres vies qui reviennent, reprennent possession, douleur si effrayante qui revient, alors t'essaie de pas forcer, t'essaie de pas te déchaîner, la puissance qui dort encore au fond d'tes entrailles, oiseau légendaire qui s'accule dans un coin trop sombre.

Neutre

history

tw violences/morts/abus/suicide

renaissance.

Corps. Fatigué. Les années sur le dos, l'âge qui se fait lourd sur les os. Cinq cent. Tu comptes plus, le soleil dans l'cœur qui s'étouffe lentement. Plus un gosse depuis longtemps, t'as trop vu, trop perdu, t'as vu l'monde changer, t'as vu tes amis mourir, t'as senti ton cœur se brisé en des milliards de morceaux. Les rues de Téhéran, paysage qu'tu vois depuis que t'es enfant, les guerres, la peur, l'feu qui devient doucement cendre avec le temps. Cinq cent années, trop long, pas normal, vieux sage qu'on vient voir avant qu'il ne devienne que cendre. Cinq cent et t'as les os qui se fragilisent, les pouvoirs qui s'intensifient, chaleur, non, oui, trop, tout le temps. Sensation d'étouffer, de plus savoir respirer. Puis, y a la déflagration, violente, attendue, l'corps qui s'consumme, la douleur que tu ne sens même plus, ne sent pas. Nid d'encens, de fleurs, odeur d'orient qui flotte dans l'air porter par un nuage de cendre, de fumée. Création tremblante, les pleurs d'un enfant qui résonne dans la demeure d'argile rouge, hurlement d'un bébé, renaissance ordonnée par la race, être unique qui renaît de lui même, ne transmet pas son pouvoir, t'es seul, l'seul, différents corps, différentes histoires, tout le temps, pour cinq cent ans, les souvenirs, les rêves, âme sœur qui te rejoindra peut-être dans cette vie, t'attendra, t'attendra toujours.

first death : 13 y.o.

Chansons, rires, sourires. Ronronnement du moteur qui endormirait presque tes sens, calme ton cœur. Fête d'anniversaire, rires, cadeaux, amitiés qui se sont nouées pour se dénouer ensuite, fil du destin qui mène vos vies, gamins, encore des années devant vous. Une lumière, aveuglante, klaxon assourdissant, collision. D'abord, c'était la peur, les os qui craquent, l'odeur du sang. Sifflement dans les oreilles, odeur de fumée, tout qui s'mélangeait, ton être avec les autres, eux avec toi. Cœur qui s'endort, doucement, cœur qui s'arrête, d'un coup, comme si tout avait une fin. L'sang qui glisse sur la tempe, morceaux de verre qui glissent sur l'épiderme, première cicatrice, première douleur. T'avais appris ce qu'était la mort, la douleur, la peur, le froid. T'avais appris que c'était effrayant, douloureux, t'avais appris ce que c'était de ressentir la moindre petite chose, chaque os qui se brisaient pour retrouver leurs places, chaque tissu du corps qui se refermait comme si le temps était inversé. Une seule cicatrice qui resterait, première, douloureuse, tout qui disparaît lorsque tu meurs, cicatrice d'une chute à vélo, disparu, les souvenirs liés aux marques sur ton corps qui ne deviennent que des souvenirs d'une mort, renforce la peur, renforce la douleur. Les yeux qui s'ouvrent sur une chambre trop blanche, le bip sonore d'une machine, perfusion dans la main et le regard de tes parents qui glisse sur ton visage, les larmes qui glissent sur leurs joues, et tu comprends pas. Lumière quand tout se réparait, secret trop bien gardé. C'est là où t'as appris, compris, que t'étais pas humain, pas normal, pas comme les autres, que tu crèverais pas, pas comme eux.

second death : 16 y.o

Une soirée, juste une soirée. Corps autour d'un feu de camp, lac aux reflets flamboyants, vagues causées par les poissons, air frais, doux, les corps qui se touchent, danses, la musique qui vrille le cerveau, l'alcool et la beuh qui touchent les sens, rendent la tête légère, esprit comme dans du coton. Gamin qui a le baiser trop facile, la bière qui coule dans l'sang comme si c'était de l'eau. L'feu qui danse et tu danses avec lui, corps qui passe, repasse, les rires des autres, comme si tu contrôlais la flamme, comme si le feu t’obéissait, refusait d'te blesser. Gamins qui décident de se baigner, tous, toi, peur de l'eau, peur de nager, mais t'y vas quand même, pas le choix, l'envie de s'intégrer à un groupe, d'avoir une bande de pote, d'avoir des amis, de plus être seul. La tête qui se fait plonger sous l'eau, violence, l'eau qui rentre dans les poumons et l'corps qui coulent. Tu sauras jamais ce qu'il s'est vraiment passé, manque d'oxygène, les autres qui se sont enfuis. On t'a juste retrouvé, le lendemain, au milieu d'un lac assécher, déflagration, l'corps lumineux. Tu t'es retrouvé là, le souffle couper, une cicatrice sur le torse, douleur encore, niveau des poumons. T'as su, plus tard, qu'tes pouvoirs s'étaient déclenchés, tous, l'feu qui a fait s'évaporer un putain de lac, que tes poumons avait imploser. T'étais mort, encore, et t'avais l'goût du sang dans la bouche, la peur au ventre et l'envie d't'enfuir, mourir, pour de bon, encore.

third death : 20 y.o

Amour, toujours. Rêves qui se succèdent, des sensations, un visage, des traits. Tu rêvais, souvent, l'cœur qui se fracturait quand t'ouvrais les yeux. Sensation de corps qui s'affrontent, rires qui tonnent, sourire trop grand qui te fracasserait presque l'âme. T'attends, le bon, attend d'entendre cette voix, de voir ce visage, attend de te souvenir, de comprendre, pourquoi il t’obsédait pourquoi t'arrivais pas à voir entièrement son visage, pourquoi t'étais autant de flou. T'avais cru le trouver, une fois, y avait ce sentiment de protection, les signes concordaient pas tous, pas les yeux clairs, pas la barbe qui frottait contre ta peau, pas ce sentiment d'être empli. T'avais cru, pourtant, que ça viendrait plus tard, que tu t'y ferais, qu'il avait peut-être juste changer, t'as mis du temps à accepter que c'était pas lui, parce que t'avais pas souvenir de mains autour de ton cou, t'avais pas souvenir de la haine sur le visage, pas souvenir de la peur, pas de souvenir de l'angoisse qui te bouffait le ventre dès qu'il ouvrait la bouche ou serrait les poings. Explosion, t'as lu ça dans le journal, plus tard, corps carbonisé. T'étais parti, en courant, après t'être déchaîné. Bleu sur le visage, les côtes brisées, l'poumon perforé. Gamin aux larmes salées, l'impression d'être sale, froideur qui bouffait l'sang. Puis t'as trouver quelqu'un d'autre, plus gentil, cette fois, tu t'en es pas sorti, cette fois. Cette fois, tu t'es réveillé, l'sang encore frais sur ta gueule autrefois défoncée, cicatrice qui barre ton sourcil, descend sous ton œil. Cette fois, il était parti, avec un sourire, gosse laissé dans un squatte, pretexte d'overdose, personne saurait, il pensait, alors il s'est cassé et toi t'es mort, encore. Les larmes, qui perlaient, tu t'es promis, plus jamais faire confiance jusqu'à ce que tu le trouves, parce que t'avais une autre blessure sur l'corps, parce que t'avais encore plus peur, que t'avais mal, que t'étais effrayé de t'approcher, peur des hommes, peur de leurs sourires, peur de la vie elle même, d'être trahis.

fourth death : 23 y.o

Fatigue. Cartons de pizzas qui s'entassent. Cernes. Fatigue. Peur. Larmes. Cris. Dépression qui bouffe les entrailles, l'coeur, l'âme. Fatigue du corps, de l'esprit. T'étais fatigué, de la vie, des autres, des paroles, des gens qui touchaient sans demander. Gosse qui reprend la boutique de sa mère à la nouvelle-orléans, gosse qui se perd dans les odeurs et dans les couleurs, suppose que ça suffira pour l'faire revivre. Foutaise, t'étais juste encore plus perdu, perdu dans ton espace, dans ta tête, dans ton propre monde. Gosse qui s'demande pourquoi il est encore là, pourquoi il profite de ces dons. Parfois y a les flammes qui dansent entre tes paumes et qui te promettent un avenir plus brillant, les rayons du soleil. Gosse qui avale, pilules qui passent, essaient de bloquer la trachée. Débile, tu sais, tu te demandes juste si ça t’assommera assez, si tu finirais par te réveiller, ou pas. Alors, tu t'endors, comme si de rien n'était, et tu te réveilles, encore et encore, la douleur de plus en plus pressante dans l'abdomen, l'coeur qui se calmait, explosait. Gosse qui a une autre cicatrice, blessure qui prend douloureusement le ventre. Cicatrices, que tu regardes, l'ventre, bras, visage, jambes. Douleur, toujours, tout le temps, t'essaies peut-être d'te faire sauver, ou peut-être que t'en as juste assez.

Pravus

UN PHENIX. DEPUIS LE TEMPS QUE LE PEUPLE LE RECLAME you can't make fire feel afraid 2245572639

you can't make fire feel afraid Giphy.gif?cid=ecf05e47e37ba869181e6045557f3c65de89ee953e48f911&rid=giphy

Hâte de voir cette fichette remplie et puis ce ship, je vais vous stalker comme une fanatique, vous êtes pas prêts. you can't make fire feel afraid 3168253176

you can't make fire feel afraid 3168253176

25/03/2020

J'vais vous shipper comme une ouf, même moi je ne suis pas prête...

Et j'aime tellement les phœnix, tu me vends du rêve, j'adore le contraste entre cette créature que je vois comme "sereine" face à ce jeune homme hyper sanguin ??? J'ai TRES hâte d'en lire plus, des bises you can't make fire feel afraid 978227076

you can't make fire feel afraid 978227076

07/04/2020

Ton theme song est trop bien j'ai adoré crazycat

t'as une belle plume catlove

hâte de voir ton bébé en rp avec ton ship

amuse toi bien yepii

03/02/2020

Ce perso, j'aime tellement ce que j'en ai lu déjà sad

Bienvenue !

30/01/2020

Willkommen Le petit chaaaaaaaaaat !!

sorry du délais !!! j'ai trop hâte de lire la suite de ton perso' qui nous en met déjà plein les mirettes *-*

Neutre

faut cesser
vous êtes trop mim's
plein d'bisous sur vous
promis la suite arrive
bientôt

Pravus

welcome where the shadows devour the night

Gros, gros, gros coup de cœur sur ce personnage. J'adore les fracassés, ceux à fleur de peau, prince de souffrance et de martyres et là, juste, woaw, quoi. J'ai été servie. C'est comme une longue descente aux enfers pour Mala', qui se pense comme tout ces autres enfants, puis qui réalise qu'il y a quelque chose qui close. Qu'il est à part. Et c'est la chute, dans la douleur, dans les tourments. Les émotions, ce feu qui couve dans ses veines et qui ne demande qu'à briller, exploser. Sauf que Mala, il est pas bizarre, non. Il est beau, avec ses cicatrices et ses pouvoirs sont tous sauf maléfiques, ils sont extraordinaires. On arrive tellement à se retrouver dans le personnage, c'est dingue, ta plume et ces quelques lignes ont été fabuleuse à dévorer Il a tellement un potentiel de dingue, je vais suivre de très très près ces aventures.

Te voilà fraîchement validé(e), félicitations ! Avant de pouvoir vagabonder, n'oublie pas de remplir ton profil pour que les membres puissent en savoir plus sur toi d'un seul coup d'œil. Parce que le Mundis et la réalité des humains recèlent de nombreux mystères : te recenser, il faudra.

Maintenant, va ! Entame ton voyage ! Si jamais tu as besoin de quoi que ce soit, une question qui te taraude, n'hésite pas à contacter le staff. Sois le bienvenue, amuse-toi et merci d’avoir rejoint la folle aventure qu’est Myth of Fantasy.

» I can feel the cracks in my spirit
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