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 — sympathy for the devil

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Kaël

Kaël


Neutre




Occupation : master of puppets.
Adresse : Tenebris
Messages : 97
Date d'inscription : 05/02/2019

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MessageSujet: — sympathy for the devil   — sympathy for the devil EmptyMar 10 Sep - 23:31

cradle to the grave

Prénoms, Noms : K, Kaos, Kaël, Karanhir, Karanhaël, tant d’appellations macabres que le temps a fait s'inscrire dans des légendes noires, maculées d'hémoglobine et de rites nébuleux, lucifériens.
Âge, Date de naissance : Antidéluvien. Archaïque. Né alors que le cosmos n'était qu'un océan de vagues noires, denses, où ne subsistait que le vide, les souffles d'un univers endormis.
Nationalité, Origines : Cosmique. Il appartiens à l'univers et ses racines sidérales. Enfant né dans le chaos de l’œuf de la création.
Statut Civil : Polygame. Un harem lointain, autrefois conquis, aujourd'hui ce n'est plus que le souvenir amer de feus consumés dont il s'est lassé. Et la poursuite éternelle d'une âme-sœur qui se cristallise dans le feu de soleils endormis.
Orientation sexuelle : Pansexuel. Apollon et Vénus se partagent sa couche depuis des millénaires. Des mâchoires maculées d'ombres, jusqu'aux vallées de chair ou dansent des ombres et des lumières, le plaisir se consument à travers toutes peaux, toutes âmes damnées dans le carcan de ses bras.
Occupation : Perturbateur. Démiurge instable qui instille l'essence de son chaos partout où il puise. Déité de nombres de dimensions infernales.
Allégeance : Il n'appartiens à aucune bannière, aucune utopie vers laquelle se tourner, tout juste sortis des affres d'un sommeil millénaire, il compte bien mener ses propres coups avant de dévoiler toute ses cartes.
Clan, Association : Sous le joug de sa nature chaotique, Kaël se prépare au retour fraternel de vieux démons ayant hanté les limbes de son passé. Il ne fait partis d'aucun clan, ni d'aucune association, car il s'estime maître de ses propres choix.
Caractère :  Chaotique - Manipulateur -Sarcastique - Amer - Excentrique - Extravagant - Habile - Bon orateur - Lunatique - Paradoxal - Fantasmagorique - Capricieux - Comique - Tourmenté - Aigre - Revêche - Autoritaire - Cinglant - Cruel - Orgueilleux - Arrogant - Incisif - Outrecuidant - Mégalomane - Décadent.
Theme song : megalovania dual mix

anywhere but here
Pseudo : kaotika.
Âge : 23 y.o
Comment avez-vous connu le forum ? : j'en suis la fonda  What a Face .

ft. gonçalo teixeira (myself)

a decade of destruction
Identité Stellaire : Karanhaël, Entité du Chaos. Père des démons. Démiurge des mondes et dimensions démoniaques. Créateur du Panthéon Grec.
Niveau de Puissance : Empyréen.
Pouvoirs Suprêmes : ► Maître d'Armes : Chef de guerre, souverain belliqueux, c'est l'usage des armes qu'il a conservé avec les années. Capable de manipuler les ombres noires s'échappant par tous les pores de sa peau, forgeron, architecte à sa propre manière. Il est capable de manier la matière noire et de la transformer à sa guise en n'importe quel type d'armes.

► Mage Noir : Malédiction antique, appellation aux forces démoniaques, vil manipulateur arrogant d'esprits perdus dans les limbes, ses dons, tout comme son essence reliée au vide, au cosmos, est capable des pires méfaits. Car dans ses veines ruissellent un sang noir comme de l'encre.

► Âmes Jumelles : Lorsque Karanhaël est en présence sa paire Varanhaël, leurs pouvoirs se décuplent et se renforcent de l'engouement de l'un et de l'autre. Capables du pire, tout comme du meilleur.

► Métamorphose Chaotique : Mille visages, mille vies, passée dans un corps qui se lasse et s'éternise. Il est capable de prendre n'importe quelle forme, qu'elle sois animale, monstrueuse, humanoïde, ainsi que de changer certains éléments de son apparence.

► Omniprésence : À l'image de l'Entité qu'il est, Kaël est capable de se téléporter d'un claquement de doigt à l'endroit de ses désirs. Partout et nul part à la fois.

Faiblesses et Contrecoups Suprêmes : ► Instabilité chaotique : Océans anarchiques, folie des grandeurs, chaos tourbillonnant empoisonnant ses pensées. Le diable est toujours là où l'on ne l'y attends pas. Instable. Détraqué. Volage. Vagabond. Même la personnification du chaos ne déloge pas à cette règle. Si turbulent qu'il en deviens imprévisible. Une dégénérescence millénaire, qui aujourd'hui encore, continue de puiser dans ses entrailles. L'entraînant, petit à petit, dans le néant confus de son essence.


► Fratricide : Comme n'importe lequel de ses frères ou sœurs Entités, il est vulnérable aux pouvoirs de ses confrères et peut même mourir de la main ou d'une arme de l'un d'entre eux. Même si cela reviendrait à mettre en danger l'équilibre de l'Univers.
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Kaël

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MessageSujet: Re: — sympathy for the devil   — sympathy for the devil EmptyLun 11 Nov - 14:45

nuit noire

 



Le vide. Si vide. Si froid. Si creux. Absent. Seul. Solitaire. Rien qu'un gouffre. Un néant de tourments. Je pensais l'avoir oublié. Mais il est là. Si présent. Si évanescent et vif à la fois. Un carcan. Comme des chaînes. Glaciales. Mordant ma chair, arrachant, secouant, distordant, mon âme comme une mousse extensible. Qui palpite et gravite. Dans une infinité tristement noire. Morbide. Vaste et algide.

Tiens bon. Tiens bon. Tiens bon.

Le sang. Qui s'écoule. S’éructe, comme un volcan dont les cendres ne sont que des chairs boursouflées, des cadavres que l'on emmène à la gloire d'une empyrée rougeoyante. La démence, qui s'éteint et s'illuminent dans leurs regards vides. Des pantins, désarticulés, flottant dans le vide. L'horreur des mensonges que l'on se promet, des conquêtes qu'on glorifie, des meurtriers que l'on adule. Les rêves de contrées lointaines, de nouvelles lames gorgées de sang.

Tiens bon. Tiens bon. Tiens bon.

Les sacrifices sur des autels dégoulinants, trempés d'hémoglobine. Les palpitants qui explosent, comme des confettis de feux. Des fanaux, aux travers de nuits noires, rongé par le manteau nébuleux de la sorgue. Des cercles de terreur, des cris éventrés qui s'essouffle dans le carcan de songes hallucinatoires.

Le Chaos. La Destruction. Tout ça n'est qu'un cercle. Qui se répète. Encore et encore.

Et la même mélodie, qui se répète. Indéfiniment. Un purgatoire. Mon jugement. Est-ce là l'oeuvre de mes pêchés, de mon hérésie ? Mais dans ce monde, crée de nos mains sanguinolentes, nos vices, sont-ils vraiment une infamie ?

Tu m'as pris mon âme. Ma liberté. Mes amours. Mes erreurs. Mes sacrilèges. Mon entrain. Et mon existence ne saurait tolérer l'absence de châtiment.

Tu le paiera.


The Righteous Side of Hell

Des filets. De longs rubans noirs dévalaient de ses hautes épaulettes, toute de noir, forgée sur les rives d'un lac de lave, elle était noire. Aussi profonde et dense que de l'obsidienne. Cette armure suintante de sang, encore transpirante des efforts de la bataille.

Et ils étaient là. Au sommet du champ parsemé de cadavres en putréfaction. Comme deux souverains prêt à conquirent les cieux de leur folie belliqueuse. Stratèges et maîtres de guerres. L'un, aux poings si rude qu'on le disais capable de pourfendre des monts de la seule force de sa poigne et l'autre, aux plans de batailles infaillibles, si bien qu'il avait fait se battre en retraite l'armée sanguinaire de ces ombres maîtresses de leurs vallées.

Là ou en contrebas, les guerriers se menaient leurs dernières et vaines luttes, l'horizon s'enflammait. Se levant d'un liseré rougeoyant afin de baigner îles flottantes et jungles denses de ses feux archaïques. La toile éparse de l'apocalypse croisant l'avènement d'une genèse éclatante. Comme s'il n'y avait qu'un pas, du chaos jusqu'à l'harmonie.

Tout en reposant l'une de ses mains gantées sur l'une des épaules épaisses de son frère, leurs regards s'entrechoquèrent.

« Tu m'as demandé, quel nom je souhaiterais pour ce monde-ci. »

Vayron était d'un naturel violent, hargneux, souhaitant toujours avoir le dernier mot. Celui de la fin. Celui qui clos le chapitre. Et Kaël avait très vite compris, qu'en se bataillant pour le refus de ce monde-ci, il ne gagnerait pas. Mais sur ses épaules, sur ce sourire déformant ses lippes, ne reposait pas l'échec des lourdes négociations.

Simplement l'espoir, la promesse symbolique, de ce lien, qui depuis la nuit des temps venait à les unir. Car ils étaient, l'un pour l'autre, indispensable.

« Ce sera Tenebris. »

~~

Un feu de camp. Comme ils avaient tant l'habitude d'en faire depuis que le ciel jonchés d'étoiles était devenus leurs plafonds de chaque nuit passée à explorer ces terres nébuleuses. Là. Au beau milieu d'une plaine verdâtre, avec pour horizon des chaînes montagneuses donc les pics venaient à s'enfouir dans des cieux brumeux. Douze, qu'ils étaient. Et qu'ils resteraient.

Et cette énorme cuisse d'un volatile géant qu'ils avaient chassés, puis fini par ingurgiter sous les braises d'un feu qu'Astraël avait allumée des paumes de ses mains. Le jus de viande dégoulinant avait tant donné de grondement au ventre d'Hingharaël qu'il avait finalement céder le premier en découpant un morceau du gibier.

Svetlaël avait ce sourire paisible, dans l'étau musculeux des bras de son amant, Varanhaël, alors que leurs mains se cherchaient, s'évadaient, pour mieux se retrouver de la pointe de leurs doigts. Ils avaient l'air heureux. Paisibles. Comme si l'affrontement à venir contre les ombres n'étaient qu'un petit tremplin sur lequel ils se contenteraient de rebondir. Une épreuve éphémère.

Les doigts de Vishaël glissait sur son cordophone, longs et élancés, comme des ailes d'anges, accueillant les voix cristallines de ses consœurs, Staël et Tissaël. Les échos de leurs symphonie résonnait dans la sorgue comme une berceuse douce et ensorcelante.

Astraël et Thanaël se partageait les restes tièdes d'une tisane qu'elle avait fini par réchauffer de ses pouvoirs. De leurs regards complices, ils se partageaient des songes qu'il ne saurait jamais.

Sanaël s'amusait distraitement à faire tournoyer sa lame entre ses doigts, ses prunelles closes sous la voix entremêlées de leurs sœurs. Fidèle à elle-même, silencieuse, mais attentive. Et Faël, de ces sourires discrets qu'il lançait de gauche à droite, son doigt tournoyant autour de la tasse de bois, tout en retenant la lourde couverture recouvrant ses épaules.

Une harmonie face à laquelle Kaël semblait en retrait.

Le souffle court, qui brûlait ses poumons était moindre et l'air si grand, qu'il ne pouvait que s'engouffrer dans ses poumons. Et dans ses veines, glissait les fragments de ce pouvoir insidieux, surgissant dans sa paume sous la forme d'une lance noirâtre. Autour de lui, bientôt, le monde se mit à tournoyer. Le sol et les cieux se confondant sous les mouvements agiles de son corps.

Balayant l'air en quête de chair sombre à transpercer de sa lame, un sang infâme, putride, jaillissait des entrailles créatures obscures. Des volutes volaient tout autour de lui, dans sa danse gracile, du tranchant de son épée pourfendant corps après corps.

Mais là... Dans le ciel. Une lumière. Vaste. Si grande. Qu'elle venait à faire rougeoyer ses prunelles. Altérer le temps. La réalité. L'instant. Mais ni le cri d'Astraël, ni les griffes qui venait à percer sa chair n'aurait pu le distraire de sa vision.


« K ? »

Ses prunelles dévorées par le feu des braises se relevèrent vers les échos de la voix féminine qui venait de le rappeler au présent. Astraël l'observait de ses grands yeux nébuleux, curieux.

« Où étais-tu, cette fois ? »

Un sourire se dessina sur ses lèvres et ses prunelles d'un bleu verdâtre se fondait aux plaines. Là. Là bas, il y avait une silhouette, nimbée de lumière, qui s'avançant, fini par s'effacer comme un mirage.

« Quelque part. »

~~

Des lagons. De grandes horizons infinies, bleutées, ou dansent des eaux claires, translucides, cernées par un voile de blés solaires. Ces prunelles si dense et à la fois, infiniment vaste qui se sont posées sur sa haute silhouette. Comme pris par surprise, à regarder rêveusement ces grandes allées fleuries où pousse des fleurs cristallisées. Dans le murmure de leurs pas, les parents ont oubliés ce jeune bambin aux boucles mordorées, léchées par l'astre archaïque. Partis, comme les spectres de deux ombres fantomatiques, à se réfugier sous les porches aériens.

Et eux, que d'être là. Lui, de cette longue cape noire, que les vents, les poussières avaient fini par lacérer de déchirures irrégulières. Sa stature, haute et fière, mais le souffle encore court, de la dernière bataille. La confusion du décors, la clarté aveuglante de l'empyrée dévorant sa silhouette ombrageuse.

Comme un battement lointain. Une voix, étouffée sous les sifflements de la brise. Et la prison de ces pupilles dont le manteau luminescent a percé les nuits sombres des siennes. À travers les champs de roses diaphanes, il s'est approché, sans un mot, à pas de loup. Pour ne surtout pas le déranger, de peur de l'extirper à sa rêverie solitaire. Mais hélas, il était déjà trop tard. Impossible de faire pas en arrière, car désormais, le garçon aux boucles d'ors l'avait vu.

Kaël avait toujours eût le don pour faire des entrées théâtrales, soignées et le plus souvent, imprévisibles. Mais étrangement, ce qu'il lisait dans les prunelles séraphines du petit homme lui donnait l'envie de rembobiner ses pas jusqu'à disparaître du champ de sa vision. Le laisser à l'abandon de ce vide serein, du bruissement des feuilles cristallines, du froissement lointain des ailes de volatiles géants. Là, où le soleil traversait le voile des palais opalescents afin de les faire briller de milles feux. La sensation qu'ici n'était pas sa place, que son appartenance était lointaine, nébuleuse.

Et pourtant lorsqu'il s'agenouilla face au garçon aux mirettes gorgées de mers mélancoliques, il sut. Que sa place était ici. Et se devait d'être là. À cet instant même.

« Tu veux que je te montre un tour de magie ? »

D'un hochement de tête silencieux, le garçon capta toute son attention sur l'homme vêtu de noir. Et de ses larges paumes, l'Ombrageux retira l'attache d'un pendentif de son cou, dont la mystérieuse pierre verdâtre brillait de battements muets. La tendant face aux prunelles du plus jeune il fini par l'enfermer dans le creux de son poing.

« Regarde-moi. Je vais la faire disparaître. »

D'un sourire presque taquin, il fit un geste de sa main libre en ouvrant soudainement sa paume, dans le mime d'y jeter un sort. Et lorsque les doigts de celle, qui plus tôt, retenait prisonnière le collier, vinrent à s'ouvrir, celui-ci avait disparu.

Les yeux du plus jeune s'ouvrirent de surprise. Jamais le bleu ne lui avait parut aussi grand. Démesuré, tout comme l'éther que transpirait cet endroit. Les minuscules doigts pâles attrapèrent la peau de ses doigts dévorées par le soleil afin d'en chercher le collier, mais aucune trace. Comme envolée.

« Maintenant, je vais la faire réapparaître, tu est prêt ? »

Se redressant sur ses jambes maigrelettes, le petit le regardait avec une impatience dévorante. La main de l'homme en noir se pencha jusque derrière l'oreille du garçon, avant de venir faire de nouveau pendre la pierre d'émeraude sous ses mirettes émerveillées. Un large sourire venait à fendre son visage. Presque contagieux, tant Kaël paraissait fier de son exploit derrière sa large capuche sombre, que le vent avait fini par se faire rabattre sur ses épaules.

« Là. C'est ça que je veux voir. »

Il attrapa sa minuscule main dans la sienne afin de venir y déposer le bijoux.

« Il est à toi maintenant. Allez. Pars, avant que tes parents ne se pose des questions. »


The Wrong Side Of Heaven

Des tapisseries colorées jonchait le sol, une marée de corps enlacées au travers de motifs brillants, des formes stellaires, des astres, des marées de trous noirs enlaçant le vide et ses nébuleuses. Et dans les voiles se gonflant au rythme de la douce brise, vivifiée par des soupirs, des rires complices, se soulevait des silhouettes dansantes. Des peaux mordorées, peinturées de liserais, qui comme des rubans venait à longer leurs courbes graciles. Des cracheurs de flammes, des charmeurs de serpent, en passant par ces esclaves aux cous surmontés de fines chaînes dorées s'évadant jusqu'à leurs ventres fermes, bijou des plus sensuels signifiant leur appartenance. Leur beauté envoûtant la foule d'une vague fascinée, leurs visages qui se faisaient brumeux sous les rubans de ces fumées issues d'encens aux senteurs exotiques.

Et sous le concert de ses rires hauts perchés, au rythme du clapotis des fontaines, des corps nus, enlacés, contre ces tapisseries archaïque à la mosaïque de tissus, comme imbriqués pour n'en former qu'un nuage charnel, les gonds de lourdes portes tavelées de pierres colorées s'ouvrirent par la force de deux gardiens silencieux, masqués, dont les énormes bras repoussèrent les parois polychromes. Une silhouette haute et élégante, toute vêtue de tissus léger, noir, translucide franchis les pas du temple. Sur sa peau mordorée, se glissait des bijoux d'ors et d'argents, enlaçant les courbes musculeuses de son corps, comme ce serpent s'enroulant à ses chevilles ou encore ses innombrables bagues tintant entre sa paume emplie d'une coupe d'un millésime centenaire.

Comme fascinée, la foule observa sa démarche nonchalante et féline, qui bientôt, alla se poster auprès d'un esclave dont il caressa distraitement le crâne gorgé de boucles brunes. Les rires s'étaient tus, pour faire place à un silence solennel. Et les regards, basculaient en sa direction. Envers ce dieu, fait de chair et d'un sang, que l'on disait noir comme l'encre.

« Grâce à vous, Babylonia est devenue un havre de sérénité, de délivrance. »

Sa voix, haute et forte, résonnait avec confiance, comme tout bon orateur vil saurait faire usage de sa langue.

« Ici, l'ont ne fait pas de distinction. Les esclaves sont libres, les femmes de féroces guerrières et les hommes libre de laisser cours à leurs émotions. »

Tout en disant ces mots, il marcha au travers de la foule enlacée, alors que sur son passage, des dizaines de mains venait à se damner contre la peau de ses longues jambes élancées.

« Malheureusement, d'autres devoir m'appellent. »

Il s'arrêta et pris une pause dans les échos de cette voix, qui peu à peu, laissait transparaître une lourdeur suffocante.

« La vengeance. Mes frères et mes sœurs s'entre-tuent. Les trahisons ont éclatés et divisés le sang qui coule dans mes veines. Une longue guerre se prépare. Une guerre qui nous affecteras, tous. »

« Je souhaite que Babylonia ne connaisse pas le même sort. Vous devez êtres libres. Chanter la gloire, l'art, la noirceur, la grandeur, les vices, les vertus. Vous devez vous élevés au dessus de tout ça. Comme vous l'avez toujours fait. »

« Ceci sera mon dernier joug. Mes dernières paroles. Ma volonté. »

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MessageSujet: Re: — sympathy for the devil   — sympathy for the devil EmptyMar 10 Déc - 18:54

welcome where the shadows devour the night
La beautééééééé toi même tu sais Ka c'est graveeee une bad bitch et mon amour c'est que pour les bad bitches onlyyyyy !!!!  catstrip en tout cas, c'est beaucoup trop poétique mais ça tu sais et tout c'est beauuuuu

Te voilà fraîchement validé(e), félicitations ! Avant de pouvoir vagabonder, n'oublie pas de remplir ton profil pour que les membres puissent en savoir plus sur toi d'un seul coup d'œil. Parce que le Mundis et la réalité des humains recèlent de nombreux mystères : te recenser, il faudra.

Maintenant, va ! Entame ton voyage ! Si jamais tu as besoin de quoi que ce soit, une question qui te taraude, n'hésite pas à contacter le staff. Sois la bienvenue, amuse-toi et merci d’avoir rejoint la folle aventure qu’est Myth of Fantasy.
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